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Tristan DERÈME, Épître béarnaiseCaprice, 1930De Bayonne où je vous écris,
Mon cher Tristan Derème, Combien je regrette Paris... Francis Carco Du Béarn où je vous écris
Elles roucoulent vers l’azur ;
Le jour succède à la journée ;
Qu’ai-je à faire de votre Ville
Ils n’ont souci de nos histoires,
C’est d’une mâle gourmandise ;
Qui ne satisferait son rêve et sa raison
Je sais ; cela n’est point ce que rêvent les hommes.
Belle leçon que je vous donne ! |
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