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Gérard d'HOUVILLE, Le PapillonPoésies (La Revue des Deux Mondes, tome XXXIX, mai 1907)Lorsque, par ces jours purs dont se pare septembre, Il est plus précieux à ton âme attendrie Ah ! s'il se pose, il faut te courber sans le prendre Apprendras-tu le sens des divins caractères Ne salis pas ta main de la vivante cendre Et pour récompenser, ô sage, ton attente, |
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